Une bonne histoire circule. « Dans le capital-risque, il y a les donneurs, les échangeurs et les preneurs. Ceux qui réussissent le mieux sont les donneurs. Et ceux qui échouent le plus sont aussi les donneurs ! La différence entre les deux ? Les premiers sont conscients qu’il existe aussi des échangeurs et des preneurs ! » La réalité est plus nuancée. Dans les start-ups et dans les conseils d’administration, trois registres relationnels s’activent alternativement : la générosité, l’avidité et la réciprocité. Les expliciter et les baliser permettent d’anticiper les inévitables crises de confiance, et d’en tirer parti.
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