Finance for Entrepreneurs

Depuis 2008, Finance for Entrepreneurs est une association à but non lucratif, indépendante et autofinancée. Précurseurs en psychologie entrepreneuriale, nous sommes membres de l’Observatoire de l’immatériel (capital-humain) et partenaires du Réseau Entreprendre qui a adopté notre référentiel humain en 2014.

Finance for Entrepreneurs est un groupe de recherche sur la dimension humaine de l’entrepreneuriat et du capital-investissement. Voici notre traduction de notre nom : mettre la finance au service des entrepreneurs, pour faire vivre l’humain au cœur de l’économie ! Suivant l’adage, « pour changer l’économie, changez les outils de mesure de l’économie », nous proposons 12 indicateurs pour l’évaluation et l’accompagnement du potentiel entrepreneurial. Notre approche puise sa source dans la «french theory ».

Nos missions

  • Renforcer les accompagnateurs d’entrepreneurs.
  • Ouvrir les yeux des entrepreneurs sur eux-mêmes.
  • Elargir le cadre de perception des investisseurs. Valoriser leur rôle en lien avec leur personne et leur histoire de vie.
  • Sensibiliser à l’empathie les entrepreneurs et les investisseurs. Les aider à construire un cadre bienveillant et permissif pour une belle rencontre, et une belle histoire.

20 questions pour en savoir plus

Finance for Entrepreneurs est une association à but non lucratif, indépendante et autofinancée.

Précurseurs en psychologie entrepreneuriale, nous sommes un groupe de recherche sur la dimension humaine de l’entrepreneuriat et du capital-investissement. Nous traduisons notre nom de la façon suivante : mettre la finance au service des entrepreneurs, pour faire vivre l’humain au cœur de l’économie. En d’autres termes, la vocation de FFE est de « révéler pour grandir ensemble ». Suivant l’adage, « pour changer l’économie, changez les outils de mesure de l’économie », nous proposons des indicateurs pour l’évaluation et l’accompagnement des forces-fragilités des entrepreneurs, et des investisseurs (capital-humain). Notre approche de la recherche repose sur les principes de la « French theory ».

Par ailleurs, fin 2014, FFE a lancé une école de formation à l’accompagnement d’entrepreneurs, Entreprenance Institut (entreprenance signifiant qualité de celui qui ose), qui délivre une certification en psychologie entrepreneuriale. Entreprenance permet de diffuser concrètement les indicateurs

issus de la recherche et de l’intelligence collective au sein de FFE.

La French theory est un corpus de théories philosophiques, littéraires et sociales. Selon Matthieu Langeard, président fondateur de Finance for Entrepreneurs, les recherches en psychologie entrepreneuriale s’inscrivent pleinement dans la French theory. Ce nom a été donné, dans les universités américaines, à un mouvement international, transdisciplinaire et flou qui a essaimé de France à partir des années 1960 et qui a connu un bel essor dans les départements américains de Lettres (Humanities), à partir des années 1980. Son objectif est l’intensification de la pensée et de l’action. Il vise aussi à accueillir la complexité du réel sans la mutiler.

Voici les 5 grandes lignes de la French theory.

1- Les grandes découvertes du XXe siècle ont remis en cause l’approche scientifique moderne héritée des Lumières. Celle-ci visait le contrôle et la maîtrise du réel, alimentée par la prétention à la cohérence absolue.

2- L’approche postmoderne assume son statut d’aventure. Le chercheur sort de l’ornière des normes à vocation universelle. Il s’extrait des dogmes à caractère de quasi lois physiques qui avaient pour objectif de réduire la complexité du réel pour s’en protéger : de la rationaliser et de la normaliser en éliminant l’étrange, le mystère. La démarche scientifique postmoderne prétend à la vérité, une fois les objections compétentes consultées et levées. La recherche reste rationnelle, mais s’ajuste. Elle tend à l’objectivité sans en faire une fixation.

3- L’approche scientifique se fait à la fois plus humble et plus ambitieuse. De nouvelles exigences s’ajoutent aux précédentes ! Elles interpellent la subjectivité du chercheur : ses biais – préjugés et a priori fruits de sa culture et de son histoire personnelle – tendent à être explicités. De plus, celui qui invente, observe et spécule se réinscrit dans le texte : il dit « je », il assume son point de vue. Le chercheur assume de toujours faire partie de ce qu’il dit : il s’implique activement et interprète son expérience : le chercheur accède à un fil narratif et développe sa capacité de mise en récit (approche narrative).

4- Le chercheur pratique la présence attentive (réduction phénoménologique). Par la suspension du jugement, il se rend présent à l’instant (épochè) pour accéder à la connaissance vécue : à son expérience intérieure du phénomène observé. Par cette pratique de soi, il se donne aussi la chance de ne pas écraser immédiatement la réalité par une pensée et un langage déjà disponible (grilles de lecture étroite et rigide). Il se prédispose à l’étonnement, à la découverte, donc à de nouvelles avancées scientifiques. Le chercheur gagne en puissance là où il pensait la perdre (traversée symbolique du miroir).

5- Les domaines scientifiques sont abordés par leurs noyaux, et non par leurs frontières dont le caractère flou est enfin reconnu. Il décloisonne les alvéoles disciplinaires grâce à la transversalité des sujets, source de fertilisation croisée. Les chercheurs partagent une curiosité foisonnante, innovante et un tantinet anarchiste. Leur démarche puise son énergie dans l’eros : pulsion de vie dont la fonction est de lier des unités toujours plus grandes. Ils évitent donc la catégorisation, source de mort (thanatos).
La connaissance s’articule en rhizome : elle « pousse » à partir de pôles thématiques interconnectés, intégrés en constellations solidaires. « L’arbre est filiation, mais le rhizome est alliance. A la différence des arbres ou de leurs racines, le rhizome n’est pas fait d’unités, mais de dimensions, ou plutôt de directions mouvantes. » « Il n’a pas de commencement ni de fin, mais toujours un milieu, par lequel il pousse et déborde. » « La pensée n’est pas arborescente, et le cerveau n’est pas une matière enracinée ni ramifiée. Beaucoup de gens ont un arbre planté dans la tête, mais le cerveau lui-même est une herbe beaucoup plus qu’un arbre. » (Gilles Deleuze et Félix Guattari)

L’analyse psychologique des forces-fragilités entrepreneuriales devient un sujet économique clé, voire même, le nouveau graal : les investisseurs et les entrepreneurs s’accordent sur le fait que la personnalité du dirigeant fait l’essentiel de la réussite d’un projet ! L’expression « psychologie entrepreneuriale », inconnue il y a encore six ans, cumule donc aujourd’hui un nombre croissant d’occurrences dans les moteurs de recherche internet, en français, et dans sa version anglaise. Dans « psychologie entrepreneuriale », il faut retenir la notion d’« entrepreneur », qui signifie « prendre entre », c’est-à-dire l’action d’assembler des éléments existants pour en faire quelques chose de nouveau. Notre approche de la psychologie entrepreneuriale est à la croisée de la psychologie négative (soigner ses blessures) et de la psychologie positive (réaliser son potentiel).
Accro à la transformation personnelle », Matthieu Langeard, coach et psy pour entrepreneurs, a commencé dans la banque, au bas de l’échelle, au Crédit Agricole. Après quelques années au guichet, il est en charge d’un portefeuille de clients, puis de la gestion de patrimoine. Ensuite, le CIC lui confie la gestion d’un fonds sur les marchés financiers. En parallèle, il suit des formations continues en finance et en sciences humaines. D’où une double activité : banquier le jour, psychothérapeute le soir. Ces 15 années de pratiques parallèles lui permettent d’intégrer l’équipe « Talents » d’AXA Investment Managers. Pendant deux ans, il y conçoit et teste son approche : une méthode d’entretien fondée sur l’explicitation, l’écoute active, et des critères d’évaluation du potentiel entrepreneurial. Fort de cette expérience et d’années d’observation et d’études en matière de psychologie entrepreneuriale, Matthieu Langeard décide de co-fonder, avec Maud Louvrier-Clerc en 2008, Finance for Entrepreneurs.
FFE n’est pas un lieu d’opportunisme et/ou de militantisme vindicatif et individualiste ou encore de combat d’idées… FFE se différencie de la recherche « hors sol », déconnectée de la réalité humaine, et qui serait une vaste entreprise de revendication et d’auto-validation / auto-reconnaissance du chercheur. FFE propose une approche singulière et unique du capital humain issue de l’intelligence collective et n’est rattachée à aucune école de pensée académique. FFE offre un espace convivial pour conduire des réflexions, des travaux de recherche et des échanges dans la pluralité des points de vue et la diversité des profils.
FFE évite :
-la catégorisation des personnes et le déterminisme génétique,
-les fixations et les obsessions des puristes péremptoires (postures d’experts),
-les adhérents « hors sol » qui ne sont pas alignés avec le Pourquoi de l’association,
-les donneurs de leçons qui ne s’engagent pas dans l’échange humain,
-les gens qui ne participent pas à la vie de l’association.
L’association évite de trop formaliser ses activités, de mettre en place des process susceptibles de constituer des freins à l’agilité, la spontanéité et la créativité de l’association tout en visant un certain niveau de professionnalisme.
D’une manière générale, le capital immatériel, en particulier le « capital humain », reste aujourd’hui mal compris, insuffisamment défini et incorrectement évalué dans les entreprises. Or, tout le monde s’accorde sur l’importance du capital dirigeant au sein des organisations en tant que levier potentiel de création de valeur. Il existe également un consensus général concernant la défaillance de la plupart des systèmes d’information pour apprécier le capital humain. Jusqu’à présent, la mesure opérationnelle du capital humain a fait l’objet d’assez peu de travaux académiques. De notre point de vue, la recherche que nous menons sur le capital humain a pour vocation de mieux appréhender la complexité de l’entrepreneur / du leader/ du décideur et ses forces/faiblesses entrepreneuriales.
Deux instances assurent le fonctionnement et la pérennité de Finance for Entrepreneurs : le Conseil d’Administration et le Bureau.

Les membres du Conseil d’Administration sont les gardiens de la vision et des valeurs de l’association. Les membres du CA élisent en leur sein un président, un délégué général et un trésorier pour un mandat de deux ans. Ceux-ci sont membres de l’association depuis au moins trois ans. Le CA se réunit au moins trois fois par an. Les admissions au CA, ainsi que les radiations du CA et de l’association, sont votés par le conseil.
Historique des présidents : durant la période 2008-2015, Matthieu Langeard, fondateur, a assuré cette fonction.

Actuel membre du Conseil d’Administration 
Présidente : Maud Louvrier-Clerc depuis le 17/02/2015
Délégué général : Vanessa Mendez depuis le 01/10/2015
Directeur de la recherche : Matthieu Langeard
Trésorier : Jérôme Frugère
Autres administrateurs : Denis Pansu (FING), Emmanuel de la Libaudière (Réseau Entreprendre), Jérôme Adam (Entrepreneur), Christophe Place (Altern-Actif)

Les membres du bureau se partagent la responsabilité de l’animation et de la gestion de l’association sous la supervision du président du CA et en lien avec sa vision. Le Délégué Général assure la courroie de transmission entre les membres du bureau et le CA. Ces derniers font vivre la culture de groupe. Ils organisent les recherches et accompagnent les chercheurs. Ils diffusent les outils et méthodologies: les membres du bureau encouragent et accompagnent les utilisateurs. Le bureau est animé par le Délégué Général, et est organisé sous forme de quatre pôles : Recherche – Communication – Ressources/Relations adhérents – Partenariats.

Dans l’association, tous les votes se font à la majorité, sur la base du nombre de présents et de ceux qui ont transmis leur pouvoir (simple courriel au bénéficiaire). L’assemblée générale vote le bilan moral du président et les comptes de l’association.
Au niveau de l’organisation de ce pôle, Matthieu Langeard, aidé de Francine Caspari, animera la la fin de la séquence concernant les entrepreneurs (présentation du 13ème indicateur lors du prochain comité scientifique – date prévisionnel : octobre 2015) et la nouvelle séquence investisseurs. Il n’est pas nommé de responsable du pôle recherche (donc pas de management de l’autre), ce qui permet à chacun de garder son indépendance (sans cloisonnement), de se positionner comme chercheur entrepreneur, de garder sa créativité, et de permettre à la recherche d’avancer « en rhizome ». A l’instar d’autres pôles, l’animation sera réalisée en binôme (Matthieu + Francine). Rafaëlle Berne souhaite se positionner en qualité « d’observatrice » au sein de cette unité sachant qu’elle est en charge du chantier du compte-rendu du séminaire annuel de FFE qui s’est tenu le 16 avril 2015 sur le thème « Relation entrepreneurs-investisseurs : et si on ne parlait pas d’argent ? »
La recherche au sein de FFE s’inscrit dans un cadre structuré qui est le suivant :

L’intelligence collective

– FFE est un lieu apprenant de co-création et de co-construction. L’animateur-chercheur est dans l’accueil, le don, et il met en œuvre des méthodes d’intelligence collective : un minimum de savoir / savoir-faire / savoir-être en la matière est requis.
– Si un membre veut faire exister un thème, un point de vue, il remet en question ses convictions et anime un processus d’intelligence collective (où il commence par inviter les membres de son réseau…).
– Le collectif veille à la non-dramatisation des enjeux (rapport au jeu).
La complexité humaine
– Nos approches et outils valorisent la complexité, la diversité, la potentialité et la transformation humaines.
– Les recherches ouvrent et croisent les regards et les disciplines : recherche de la transversalité qui crée des liens, remise en cause des certitudes qui divisent.
– Notre créativité vient du métissage, du doute et de notre humour. Nous avons confiance en nous, sans être sûrs de nous, et c’est tant mieux !

Transformation personnelle – Engagement – Motivation individuelle – Sens de FFE

Afin d’éviter les adhérents « hors sol » et les postures d’expert :
– Les membres se remettent en question, partagent leurs vécus et évoluent. Ils engagent leur développement personnel, et s’engagent dans une démarche d’introspection, en pleine conscience. Ils sont dans la joie de partager ce que les erreurs et les épreuves leurs apprennent.
– Ils questionnent leurs motivations et mettent en perspective leurs thèmes de recherche : « qu’est-ce que je répare de mon histoire ? » (Nos blessures génèrent nos talents.)
– C’est, d’une part, la matière première de notre recherche, d’autre part, la condition de notre intégrité personnelle et collective, et enfin, la légitimité de nos productions.
– Le Délégué général et les animateurs des sessions de recherche privilégient le management par le sens (omniprésence du Pourquoi et validation de l’alignement des adhérents avec celui-ci).

Le capital humain est notre principal thème de recherche, voire exclusif. Il a pour l’instant été décliné en deux sujets de recherche :
– Le potentiel entrepreneurial : premier thème de recherche qui a permis de révéler 12 indicateurs. Cette séquence de recherche se clôturera suite à plusieurs années de travail avec le 13ème indicateur qui sera présenté lors du prochain comité scientifique.
– Le potentiel décisionnel : deuxième thème de recherche lancé depuis plusieurs années également et qui est désormais le nouveau défi pour les trois prochaines années : révélation et validation des indicateurs à mener. De nouveaux sujets pourront être proposés en parallèle. Toutefois, la priorité sera donnée à l’étude de la systémique des indicateurs qui mérite d’être explorée plus avant.
Le candidat à l’animation d’un nouveau sujet de recherche a pour obligation d’être membre de FFE. Concrètement, il doit d’abord définir précisément les enjeux relatifs au domaine de recherche, démontrer la cohérence entre le sujet et la raison d’être de FFE, détailler les différents aspects de la problématique, concevoir la structuration de la recherche, préciser les hypothèses de départ et, enfin, produire des outils, de la méthodologie ou des articles. Cet ensemble est présenté et validé par le Conseil d’Administration, qui autorise le démarrage d’une séquence de recherche.
Les outils et méthodologies produits par le groupe sont à la disposition de tous – sans restriction – pour le développement d’activités économiques (ou non) en dehors de l’association. Les outils et méthodologies sont sous licence Creative Commons BY-SA : libres de droits, avec l’engagement de l’utilisateur d’indiquer la source (Finance for Entrepreneurs) et de partager sa nouvelle production dans les mêmes conditions (CC BY-SA). Il appartient à chacun de s’approprier ces outils et méthodologies, de les rendre visibles, de les diffuser largement auprès de nouvelles cibles et d’inventer leurs applications.
En premier lieu, les participants de l’atelier, par ailleurs contributeurs principaux, sont habilités à utiliser les contenus et résultats des recherches. Des synthèses d’ateliers étant disponibles, tout internaute, membre ou pas de FFE, peut potentiellement en tirer un bénéfice.
Julien Bengué est le référent communication en matière de supports digitaux (site internet, conception et envoi d’invitations email, newsletter…). Concernant les réseaux sociaux, en particulier LinkedIn, Julien fera binôme avec Jérôme Frugère. Vanessa Mendez et Rafaëlle Berne proposent d’intervenir sur les actions suivantes : sensibilisation et plaidoyer auprès des observateurs de l’économie et des influenceurs (industrie financière, etc…), relations / presse et médias, création de partenariats de communication, contributions à des publications, interventions lors de conférences et colloques pour diffuser les messages de FFE…
Les principaux objectifs du pôle communication sont les suivants :
– rendre visible et faire rayonner les travaux de recherche de FFE ainsi que les outils méthodologiques
– sensibiliser au capital dirigeant
– révéler la puissance de la méthodologie développée autour des 13 indicateurs
– renforcer la légitimité de FFE en participant à des groupes de travail, ateliers, conférences… organisés par les partenaires de FFE et/ ou d’autres entités
– accroître l’aura de l’association en dehors des cercles traditionnels de FFE
L’objectif à court terme de ce pôle est le renforcement des ressources humaines, en particulier les ressources gratuites (les bénévoles) et les adhérents sur lesquels l’association s’appuie pour produire ses travaux. Parallèlement, il est impératif de mettre en place une stratégie de levée de fonds, principalement au travers d’un appel à cotisations et d’une gestion plus rigoureuse et régulière des relations adhérents. En outre, un contact de Matthieu Langeard, spécialiste de la levée de fonds et du montage de demandes de subventions, sera sollicité pour aider FFE sur ce sujet. Concernant la grille des tarifs d’adhésion, de nouveaux barèmes ont été définis :
– Créateurs d’entreprises, auto-entrepreneurs… : 60 euros
– Particuliers : 120 euros
– PME/PMI : 260 euros
– Grands entreprises : 400 euros
FFE est une association autofinancée dont le budget de fonctionnement repose sur les cotisations de ses membres, d’une part, et sur des échanges marchandises (prêt de salles de réunion…), d’autre part. FFE fonctionne uniquement grâce au bénévolat et à l’implication pro bono d’un petit nombre d’adhérents fidèles et engagés (le « noyau dur et doux »). L’association n’emploie aucun permanent.
Sophie Delon Rolland a proposé de s’engager sur cette thématique. Vanessa Mendez l’assistera sur ce volet. Ensemble, elles piloteront la cohérence et l’évolution de chacun des contacts. Les partenariats permettent d’amplifier le positionnement de FFE, sa communication, sa production, son influence, sa légitimité… Les partenariats alimentent naturellement le pôle communication. Le partenariat stratégique historique avec l’Observatoire de l’Immatériel, considéré comme la « fédération professionnelle » de FFE, exige une attention et un suivi particuliers.
Nous prévoyons de réaliser un brainstorming incluant toutes les parties prenantes de FFE, à savoir les membres du CA, les membres du bureau, les adhérents, les sympathisants, les partenaires ainsi que l’écosystème Entreprenance, à la rentrée 2018. Celui-ci visera à préciser les ambitions de l’association en termes de taille, d’ampleur des actions, de la diffusion des travaux hors de France, et de tous les sujets qui auront émergé lors des échanges durant l’année 2016 et suite aux bilans que nous pourrons dresser fin 2017.